A nos amis bienfaiteurs

6e Apparition de Notre-Dame à Fatima

Demain, nous commémorerons la 6e et dernière apparition de Notre Dame à Fatima.

Ces apparitions prophétiques touchent tout le monde et sont encore pleine de résonance un siècle plus tard.

Il faut prier, réciter quotidiennement le chapelet pour la paix et la conversion des pécheurs, pour réparer les offenses et faire pénitence.

Vous pouvez lui réciter la prière suivante :
Ô Vierge et Reine du Saint Rosaire, Fille du Père Céleste, Mère du Divin Fils, Épouse de l’Esprit aux sept dons, Vous pouvez tout auprès de la Sainte Trinité. Je Vous supplie d’implorer pour moi cette grâce dont j’ai tant besoin, pourvu qu’elle ne soit pas un obstacle à mon salut (on expose la grâce désirée).

Je Vous la demande par votre Immaculée Conception, par votre Divine Maternité, par Vos joies, Vos douleurs, par Vos triomphes. Je Vous la demande par le Cœur de votre Jésus d’Amour, par ces neuf mois pendant lesquels Vous L’avez porté dans votre sein, par les souffrances de Sa vie, par Sa cruelle Passion, par Sa mort sur la Croix, par Son Nom très Saint, par Son Sang très Précieux.

Je Vous la demande enfin par votre Cœur très doux, en votre Nom glorieux, ô Marie, qui êtes l’Étoile de la mer, la Dame puissante, la Mère des douleurs, la Porte du ciel, la Mère de toute grâce et la Reine du Très Saint Rosaire. J’ai confiance en Vous. J’espère tout de Vous. Je me consacre entièrement à Vous.

Amen.
Dans l’attente de votre appel, revenons sur cette 6e apparition qui eut de nouveau lieu à Cova da Iria, comme les précédentes. 

Le récit des apparitions s’étant largement répandu entre le mois de mai où se produisit la première vision et le mois d’octobre, ce dernier rendez-vous rassembla des milliers de fidèles ou de curieux (de 40 000 à 70 000 personnes selon les estimations) à la suite des trois jeunes pastoureaux.

Lucie raconta :
« Lorsque nous sommes arrivés à la Cova da Iria, près du chêne vert, une injonction intérieure m’a poussée à demander à la foule de fermer les parapluies, avant que nous ne récitions le chapelet. Peu après, nous avons vu le reflet de la lumière, puis Notre-Dame au-dessus du chêne vert. »
Que voulez-vous de moi ?

Je veux te dire que l’on fasse construire ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre-Dame du Rosaire. Que l’on continue à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux.

J’avais beaucoup de choses à vous demander : de guérir des malades, de convertir des pécheurs, etc.

Les uns, oui, les autres, non. Il faut qu’ils se corrigent, qu’ils demandent pardon pour leurs péchés.

Et prenant un air plus triste :

Qu’ils n’offensent pas davantage Dieu, Notre-Seigneur, qui est déjà très offensé.

Ouvrant alors les mains, elle les fit se refléter dans le soleil, puis, pendant qu’elle s’élevait, le reflet de sa propre lumière continua à se projeter dans le soleil.

Tel fut le motif pour lequel je me suis exclamée, en leur demandant de regarder vers le soleil. Mon but n’était pas d’attirer l’attention de la foule vers cette direction, puisque je ne me rendais même pas compte de sa présence : je l’ai fait seulement à cause d’une impulsion intérieure qui m’y a incitée. »
Ainsi se produisit le miracle annoncé trois mois plus tôt par les enfants, dont la nature était encore inconnue, comme preuve de la véracité des apparitions : miracle qu’on appela le miracle du soleil ou la danse du soleil.
Alors que la pluie avait martelé le ciel et le sol depuis le matin, le soleil perça brutalement les nuages pour se rendre visible, puis il tourna trois fois sur lui-même à une allure vertigineuse, projetant de toute part des faisceaux de lumières jaunes, lilas, orangés et rouges.
Il sembla, à un moment, se détacher du firmament, donnant l’impression qu’il allait s’écraser sur la foule haletante. Certains prièrent alors qu’ils n’étaient pas croyants, d’autres se mirent à genoux implorant le ciel. Cela dura dix minutes et fut visible à des kilomètres avant que le soleil ne reprenne un aspect normal, ces quelques minutes suffirent à sécher ce qui avait été trempé toute la matinée par la pluie. 

Pendant ce laps de temps, les trois enfants eurent le privilège d’avoir d’autres visions :
« Notre-Dame une fois disparue dans l’immensité du firmament, nous vîmes saint Joseph près du soleil avec l’Enfant-Jésus et Notre-Dame vêtue de blanc avec un manteau bleu. Saint Joseph et l’Enfant-Jésus paraissaient bénir le monde, avec les gestes en forme de croix qu’ils faisaient de la main. Peu après, une fois dissipée l’image de cette apparition, je vis Notre-Seigneur et Notre-Dame, qui pour moi ressemblait à Notre-Dame des Douleurs. Notre-Seigneur semblait bénir le monde de la même manière que saint Joseph. Cette apparition s’évanouit à son tour et il m’a semblé voir de nouveau Notre-Dame sous une forme proche de Notre-Dame du Carmel. »

En union de prières.



Basilique Notre Dame de Bon Secours

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