A nos amis bienfaiteurs

Notre-Dame des Sept Douleurs

Nous célébrons ce 27 février saint Gabriel de Notre Dame des Sept Douleurs, un passioniste italien du XIXe siècle.

Il entra à 17 ans dans la Congrégation religieuse des Passionnistes et fut renommé Frère Gabriel de l’Addolorata (« Notre-Dame-des-Sept-Douleurs ») pour laquelle il avait une dévotion particulière, sans doute inspirée par les soins attentifs de sa mère qui est morte lorsqu’il avait 4 ans.

Il entreprend également des études de philosophie et de théologie.

D’une constitution fragile, il vivait ses souffrances dans un amour joyeux envers Dieu.

Il avait une dévotion ardente pour Marie, son cœur brûlant pour Elle n’avait de cesse de La placer dans tous les aspects de sa vie, dans ses prières, ses pensées, ses rêves, ses mortifications quotidiennes.

Il mourut en extase de la tuberculose à l’âge de 24 ans.

Il est le patron des novices et des séminaristes.
Priez pour les pécheurs et pour recevoir des grâces

En attendant votre appel, je vous laisse avec cette prière de saint Gabriel de l’Addolorata :
« Je crois, ô Marie, que vous êtes la mère de tous les hommes, et que vous les avez tous reçus en la personne de Jean, selon le désir de Jésus.
Je crois que vous êtes notre vie, et je vous appellerai avec St Augustin, l’unique espérance des pécheurs, après Dieu.
Je crois que vous êtes le souffle vivifiant des chrétiens et leur secours, surtout à la mort. C’est par vous que nous recevons le don inestimable de la sainte persévérance. En marchant à votre suite, je ne sortirai pas du droit chemin ; si vous priez pour moi je ne serai pas incorrigible ; demeurant avec vous je ne tomberai pas ; si vous me protégez, je n’aurai rien à craindre ; je ne me fatiguerai pas en vous suivant, et je parviendrai jusqu’à vous si vous m’êtes propice.
Je crois que vous couvrez de votre protection tous ceux qui ont recours à vous… Vous prévenez ceux qui vous cherchent et même, sans en être priée, vous vous hâtez de les secourir…
Je crois… que toutes les grâces que Dieu nous dispense passent par vos mains ; que toutes les miséricordes qui ont été accordées aux hommes l’ont été par votre entremise et que personne ne peut entrer au ciel que par vous, qui en êtes la porte…
Je crois qu’un seul de vos soupirs a plus de valeur que les prières de tous les saints ensemble, et que c’est en vain que l’on a recours aux saints si vous n’intercédez vous-même. Quand vous priez, tous les saints unissent leurs prières aux vôtres.
Je crois que vous êtes une avocate si dévouée que vous ne refusez pas de prendre en mains la cause des plus misérables. Je vous regarde comme la médiatrice de la paix entre Dieu et les pécheurs et je crois que Dieu vous a créée comme un appât très agréable pour prendre les hommes, surtout les pécheurs et les attirer à lui. Vous êtes tous yeux pour compatir à nos misères et les secourir. Je crois que la compassion que vous aviez pour les malheureux quand vous étiez sur la terre, est autant dépassée en grandeur, maintenant que vous régnez dans le ciel, que la lune est surpassée par le soleil en grandeur et en éclat…
Je crois, avec saint Hilaire, que vos dévots serviteurs ne peuvent jamais se perdre, quelques grands pécheurs qu’ils aient été auparavant… Je crois, avec saint Ephrem, que la dévotion envers vous est le passeport du salut : charta libertatis !


Ainsi soit-il. »

En union de prières.



Basilique Notre Dame de Bon Secours

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *