
Il fut un temps où Notre-Dame de la Merci inspirait le rachat des captifs tombés aux mains de leurs ennemis. Mais son œuvre ne s’est pas arrêtée au Moyen Âge.
Aujourd’hui encore, la Vierge Marie continue son œuvre de libération.
Nous portons tous, d’une manière ou d’une autre, des chaînes invisibles.
Il y a les peurs qui nous bloquent, les habitudes stériles qui nous enferment, les dépendances qui nous épuisent, les doutes qui nous paralysent, le découragement qui alourdit nos pas.
Et parfois, ce sont des blessures intérieures ou de vieilles rancunes qui, comme des geôliers têtus, refusent de nous laisser avancer.
La Mère de Miséricorde n’a pas changé.
Elle se tient près de nous, douce et forte, pour défaire nos chaînes et nous délivrer de tout ce qui nous empêche d’avancer vers Dieu.
Elle est la clé qui ouvre les prisons cachées de nos cœurs, la lumière qui éclaire nos nuits, la main qui relève quand nous tombons.
Que la Mère de Miséricorde vous obtienne cette paix qui libère.
En union de prière
Basilique Notre-Dame de Bon-Secours