Méditer Notre-Dame Avec Sainte Thérèse de Lisieux


Ce sont les petites choses, les actes anodins du quotidien, les petites attentions, la volonté de vouloir faire pour le mieux, qui vous mènent doucement sur le chemin de la sainteté.

Notre Dame est une interlocutrice privilégiée pour beaucoup de saints. Elle est la voie la plus sûre et la plus pure menant à Dieu.

Parmi ces saints se trouve sainte Thérèse de Lisieux, patronne des missions, dont la sainteté consistait à « faire de manière extraordinaire des choses tout ordinaires ! ». 

Elle ne peut que nous inspirer !

Et en ce mois de décembre, méditons sur la place que tient Notre Dame dans notre vie.

Quand le chemin se montre parfois difficile, quand vous avez l’impression de ne pas être suffisamment dévoué(e), n’oubliez pas que Notre Dame connait les envolées de votre cœur et les promesses de votre âme.

Voici quelques extraits des nombreux écrits de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus sur l’amour qu’elle portait à la Vierge Marie :

« […] Ne crains pas d’aimer trop la Sainte Vierge, jamais tu ne l’aimeras assez et Jésus sera bien content puisque la Sainte Vierge est sa Mère. (Lettre 92)

[…] À propos de la Sainte Vierge, il faut que je te confie une de mes simplicités avec elle ; parfois je me surprends à lui dire : Mais ma bonne Sainte Vierge, je trouve que je suis plus heureuse que vous, car je vous ai pour Mère et vous, vous n’avez pas de Sainte Vierge à aimer…
Il est vrai que vous êtes la Mère de Jésus, mais ce Jésus, vous nous l’avez donné tout entier…
Et lui, sur la croix, il vous a donné à nous pour Mère.
Ainsi nous sommes plus riches que vous puisque nous possédons Jésus et que vous êtes à nous aussi. (Lettre 137)

[…] J’ai beau m’efforcer de méditer les mystères du rosaire, je n’arrive pas à fixer mon esprit. Longtemps, je me suis désolée de ce manque de dévotion qui m’étonnait, car j’aime tant la Sainte Vierge qu’il devrait m’être facile de faire en son honneur des prières qui lui sont agréables.
Maintenant, je me désole moins, je pense que la Reine des cieux, étant ma Mère, elle doit voir ma bonne volonté et qu’elle s’en contente… (Manuscrit C Folio 25)

[…] La Sainte Vierge me montre qu’elle n’est pas fâchée contre moi, jamais elle ne manque de me protéger aussitôt que je l’invoque. S’il me survient une inquiétude, un embarras, bien vite je me tourne vers elle et toujours comme la plus tendre des Mères elle se charge de mes intérêts. Que de fois […], il m’est arrivé de l’invoquer et de ressentir les bienfaits de sa maternelle protection… (Manuscrit C Folio 26)


En union de prières.



Basilique Notre-Dame de Bon-Secours

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